dimanche 11 août 2013

Pierre Menes parle de son compte twitter

En vacance à La Baule, Pierre Ménès a accordé un long entretien à Ouest France. Il y parle de son boulot de chroniqueur au CFC, du championnat de L1 à venir, de l'Equipe de France, de ses autres activités (poker, cinéma...) mais aussi de son compte twitter. Pierre Ménès, c'est plus de 280 000 abonnés, 165 abonnements (à des footballeurs, joueurs de tennis - sport qu'il adore - des confrères). 




C'est intéressant de voir comment le journaliste appréhende son compte twitter. On sait que le site de microbloging favorise une interactivité entre les fans et "les stars". Pierre Ménès explique "qu'une semaine creuse c'est en gros 15 000 (mentions) une grosse semaine ça peut aller jusqu'à 30 000." Lucide sur l'outil et sa pratique, il explique que twitter "c'est drôle, c'est parfois pesant et c'est quelques fois grisant, dans le bon sens du terme". Il reconnait que c'est fatiguant d'avoir à gérer les insultes ou les attaques (à ce sujet, je vous invite à relire le billet consacré à Mean Tweets) mais twitter reste un "vecteur de communication extrêmement intéressant" qui peut être utilisé pour faire la promotion du CFC (Hervé Mathoux et Astrid Bard ont d'ailleurs aussi un compte twitter certifié) et nourir une proximité avec les gens.









En juin dernier Hervé Mathoux, camarade de jeu de Pierre Ménès, livrait son sentiment sur twitter à sur l'excellent EPL.

"Je ne vais pas seulement laisser filer, je vais simplement arrêter. C’est un scoop que je vous donne (sourires). Ça fait pas mal de temps que je me pose la question de rester sur Twitter. Je vais y rester parce que ça reste une bonne source d’informations pour moi, mais je vais écrire un minimum, sans donner d’opinion. Et, surtout, je ne vais plus regarder les messages. Je me rends compte que c’est impossible de dialoguer avec soixante-dix mille personnes en même temps, d’autant que là-dessus, il y a une minorité « rageuse » qui fait beaucoup trop de bruit. C’est désespérant. Je n’ai plus envie d’être en contact avec ce type de messages."

Pour aller plus loin :

"Pierre Ménès t’a même répondu une fois que tu n’avais rien compris à sa chronique dans DirectMatin, mais pas deux..."

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